LE TABOU DEMOGRAPHIQUE
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LE TABOU DEMOGRAPHIQUE
Il y a résolument quelque chose d’étonnant dans l’Union européenne et qui surprend beaucoup de pays nord-américains et ex-soviétiques : le refus d’aborder clairement la question de la démographie et de l’immigration. Première constatation : l’Union européenne rechigne à aborder ces sujets à travers des critères objectifs, tels qu’ethniques et religieux (il en est de même lorsqu’on aborde la question de la population carcérale). Mais quel est le rapport entre l’immigration et la démographie ? Il tient dans l’argumentaire récurrent des organisations économiques telles que l’OCDE et l’OMC, nos superstructures communautaires européennes et les tenant des portes ouvertes à tous les vents tels que tous ces partis socialistes européens en mal de repères et de pragmatisme. En clair, on ne cesse de nous abrutir à grands renforts d’analyses économiques qui vont tous dans la même direction : l’Union européenne ne fait plus assez d’enfants et aura des problèmes à demeurer compétitive pour cause de vieillissement de la population (ce qui est tout à fait vrai), donc, il faut organiser une immigration pour palier à ce déficit démographique (ce qui est faut, nous allons voir pourquoi ci-dessous).
En octobre dernier, dans les colonnes du Monde et du Figaro, un comité d’éminents économistes osaient démontrer que l’Union européenne n’aurait pas besoin d’une immigration à grande échelle telle que prévue pour surmonter les affres du vieillissement. Il suffisait de rallonger le temps de travail légal à 73 ans (comme au Danemark), supprimer le recours aux prépensions (comme dans la plupart des pays scandinaves, nord-américains, est-européens, euro-asiatiques…) et généraliser le modèle socio-économique allemand tel que définit par le SPD (socialiste, pourtant) au début des années 2000, d’allongement du temps de travail pour le même salaire (42heures payées 39, ce qui parait ridicule au regard des standards nord-américains, où il n’est pas rare qu’un fonctionnaire ne rechigne pas à travailler plus de 45 heures). L’annonce de cette étude publiée par d’éminents économistes européens fit l’effet d’une bombe à la Commission européenne qui, deux jours plus tard, sortait avec panique une étude qui contredisait cette thèse : toutes ces mesures sont inévitables et sont déjà en discussion pour les dix prochaines années, mais elles ne permettaient certainement pas de palier le déficit démographique chronique de l’Union européenne. En bref, l’immigration serait massive, inéluctable et devait être dès à présent organisée.
Ces deux études présentaient des bilans tout à fait justes : l’Union européenne ne fait plus assez d’enfants pour renouveler sa population actuelle. Pour qu’il y ait renouvellement, il faut que le taux de fécondité soit de 2,1 enfants par femme. En France, il oscille autour de 1,9, mais en Italie, en Espagne, en Allemagne et dans tous les pays d’Europe de l’Est, il s’est littéralement effondré à 1,3 ! En clair, d’ici à 40 ans, il n’y aura plus que 30 millions d’actifs en moins, alors que les plus de 60 ans verront leur nombre explosé. Par exemple, en France, durant cette période, ce nombre passera de 12 à 21 millions. Or, il faut savoir que pour la France, cela impliquerait une augmentation annuelle de 0,9% des dépenses de Sécurité sociale. Il y a donc bien un problème de vieillissement de la population européenne. Pourtant, si nous suivons les conseils repris dans l’étude contestant l’inéluctabilité du recours à l’immigration, les mesures qu’elle préconise devrait largement palier ce phénomène. Mais là où, selon moi, cette dernière étude pèche, c’est dans le principe de base qui voudrait que l’Européen veuille se remettre à travailler et que les entreprises jouent le jeu. En clair, l’Européen doit accepter de travailler jusqu’à 45 heures/semaine, payées 38, se limiter à 3 semaines de vacances par an, et ne plus prendre sa retraite avant 73 ans même si le nombre d’années de cotisation est atteint. Parallèlement, les entreprises européennes doivent embaucher massivement chez les plus de 50 ans dès à présent pour que cette stratégie fonctionne. Ce qui est loin d’être gagné.
Pourtant, personne n’a proposé à une solution bien plus simple (en apparence, certes) : que les européennes fassent davantage d’enfants. Certes, dans certains pays, certains partis politiques mettent cette proposition dans leurs programmes, mais ils ne l’appliquent jamais parce que cela entre directement en conflit avec le droit des femmes à disposer de leurs corps. Ils s’exposent également aux soupçons de racisme latent parce que qui dit démographie, sous-entend analyses pointues qui se heurtent à de nombreuses lois nationales qui interdisent de différencier (stigmatiser ?) les naissances en fonction des appartenances ethniques et/ou religieuses. Et pourtant, personne n’est naïf au point de réfuter le fait que si, par exemple, le taux de fécondité français est de 2,1, c’est très largement en partie parce que les populations immigrées font largement plus d’enfants que la française. D’ailleurs, il y a quelques semaines, dans la Libre Belgique, une étude soutenait que d’ici 15 à 20 ans, Bruxelles serait musulmane. Et pourtant, la question de la démographie va bien au-delà de la seule équation économique. Lorsqu’on parle d’enfants et de naissances, on parle aussi d’équilibre et d’harmonie des sociétés d’accueil. Les italiens ont mis du temps à le comprendre : l’immigration est une fausse solution parce qu’elle implique l’immigration d’un pourcentage conséquent de personnes inemployables, de personnes qualifiées dont ont besoin les pays d’origine, et déstructure progressivement la société jusqu’à parfois la communautariser. Thessalonique est peut-être, avec la banlieue parisienne, un exemple effroyable de ce que l’immigration telle qu’imaginée par les économistes libéraux et ultralibéraux peut avoir de néfaste.
Il est quand même étonnant que nos économistes européens ne se soient jamais penchés sur la solution nataliste positive (s’accompagnant de plus grands droits et du renforcement des aides) comme l’ont fait les russes au début des années 2000. Alors que durant les années Eltsine, la population russe baissait (entre 1992 et 1999, elle a perdue 12% de ses habitants), avec l’arrivée de Poutine, une politique volontariste de natalité a permis à la Russie, non seulement d’assurer le renouvellement de sa population, mais de l’augmenter. Quant aux Etats-Unis, hors immigration sud-américaine, son taux de fécondité devrait lui permettre de gagner 100 millions d’habitants d’ici les 40 prochaines années. Pourquoi la Commission européenne ne suit-elle pas ces exemples, même si adaptée à la réalité européenne ? La question est posée.
En octobre dernier, dans les colonnes du Monde et du Figaro, un comité d’éminents économistes osaient démontrer que l’Union européenne n’aurait pas besoin d’une immigration à grande échelle telle que prévue pour surmonter les affres du vieillissement. Il suffisait de rallonger le temps de travail légal à 73 ans (comme au Danemark), supprimer le recours aux prépensions (comme dans la plupart des pays scandinaves, nord-américains, est-européens, euro-asiatiques…) et généraliser le modèle socio-économique allemand tel que définit par le SPD (socialiste, pourtant) au début des années 2000, d’allongement du temps de travail pour le même salaire (42heures payées 39, ce qui parait ridicule au regard des standards nord-américains, où il n’est pas rare qu’un fonctionnaire ne rechigne pas à travailler plus de 45 heures). L’annonce de cette étude publiée par d’éminents économistes européens fit l’effet d’une bombe à la Commission européenne qui, deux jours plus tard, sortait avec panique une étude qui contredisait cette thèse : toutes ces mesures sont inévitables et sont déjà en discussion pour les dix prochaines années, mais elles ne permettaient certainement pas de palier le déficit démographique chronique de l’Union européenne. En bref, l’immigration serait massive, inéluctable et devait être dès à présent organisée.
Ces deux études présentaient des bilans tout à fait justes : l’Union européenne ne fait plus assez d’enfants pour renouveler sa population actuelle. Pour qu’il y ait renouvellement, il faut que le taux de fécondité soit de 2,1 enfants par femme. En France, il oscille autour de 1,9, mais en Italie, en Espagne, en Allemagne et dans tous les pays d’Europe de l’Est, il s’est littéralement effondré à 1,3 ! En clair, d’ici à 40 ans, il n’y aura plus que 30 millions d’actifs en moins, alors que les plus de 60 ans verront leur nombre explosé. Par exemple, en France, durant cette période, ce nombre passera de 12 à 21 millions. Or, il faut savoir que pour la France, cela impliquerait une augmentation annuelle de 0,9% des dépenses de Sécurité sociale. Il y a donc bien un problème de vieillissement de la population européenne. Pourtant, si nous suivons les conseils repris dans l’étude contestant l’inéluctabilité du recours à l’immigration, les mesures qu’elle préconise devrait largement palier ce phénomène. Mais là où, selon moi, cette dernière étude pèche, c’est dans le principe de base qui voudrait que l’Européen veuille se remettre à travailler et que les entreprises jouent le jeu. En clair, l’Européen doit accepter de travailler jusqu’à 45 heures/semaine, payées 38, se limiter à 3 semaines de vacances par an, et ne plus prendre sa retraite avant 73 ans même si le nombre d’années de cotisation est atteint. Parallèlement, les entreprises européennes doivent embaucher massivement chez les plus de 50 ans dès à présent pour que cette stratégie fonctionne. Ce qui est loin d’être gagné.
Pourtant, personne n’a proposé à une solution bien plus simple (en apparence, certes) : que les européennes fassent davantage d’enfants. Certes, dans certains pays, certains partis politiques mettent cette proposition dans leurs programmes, mais ils ne l’appliquent jamais parce que cela entre directement en conflit avec le droit des femmes à disposer de leurs corps. Ils s’exposent également aux soupçons de racisme latent parce que qui dit démographie, sous-entend analyses pointues qui se heurtent à de nombreuses lois nationales qui interdisent de différencier (stigmatiser ?) les naissances en fonction des appartenances ethniques et/ou religieuses. Et pourtant, personne n’est naïf au point de réfuter le fait que si, par exemple, le taux de fécondité français est de 2,1, c’est très largement en partie parce que les populations immigrées font largement plus d’enfants que la française. D’ailleurs, il y a quelques semaines, dans la Libre Belgique, une étude soutenait que d’ici 15 à 20 ans, Bruxelles serait musulmane. Et pourtant, la question de la démographie va bien au-delà de la seule équation économique. Lorsqu’on parle d’enfants et de naissances, on parle aussi d’équilibre et d’harmonie des sociétés d’accueil. Les italiens ont mis du temps à le comprendre : l’immigration est une fausse solution parce qu’elle implique l’immigration d’un pourcentage conséquent de personnes inemployables, de personnes qualifiées dont ont besoin les pays d’origine, et déstructure progressivement la société jusqu’à parfois la communautariser. Thessalonique est peut-être, avec la banlieue parisienne, un exemple effroyable de ce que l’immigration telle qu’imaginée par les économistes libéraux et ultralibéraux peut avoir de néfaste.
Il est quand même étonnant que nos économistes européens ne se soient jamais penchés sur la solution nataliste positive (s’accompagnant de plus grands droits et du renforcement des aides) comme l’ont fait les russes au début des années 2000. Alors que durant les années Eltsine, la population russe baissait (entre 1992 et 1999, elle a perdue 12% de ses habitants), avec l’arrivée de Poutine, une politique volontariste de natalité a permis à la Russie, non seulement d’assurer le renouvellement de sa population, mais de l’augmenter. Quant aux Etats-Unis, hors immigration sud-américaine, son taux de fécondité devrait lui permettre de gagner 100 millions d’habitants d’ici les 40 prochaines années. Pourquoi la Commission européenne ne suit-elle pas ces exemples, même si adaptée à la réalité européenne ? La question est posée.
ludovicccc-moiran- Nombre de messages : 18
Age : 41
Date d'inscription : 09/06/2008
Bonne question. Le problème du partage.
Est-ce que c’est malin de résoudre le problème des pensions au moyen d' immigrés ? Ce que je me suis toujours demandé, c’est qui va payer les pensions des immigrés plus tard? Leurs enfants ? Et qui va payer les pensions de ces enfants plus tard ? Aussi les enfants de leurs enfants ? Et ainsi de suite ?
Si ce n'est pas le cas, alors il faudra continuellement faire venir des immigrés.
Donc on accepte qu’il y aura de plus en plus d’ immigrés en Europe, et qu’il ne restera plus qu’une minorité
d’ Européens de moins en moins nombreux, et pour finir plus aucuns : les Européens se seront intégrés aux immigrés…
Mais est-ce que c’est correct de traiter les gens comme ça pour des questions d’argent ? Je trouve que ça ressemble trop à de la déportation, ces questions d’immigrés. Pas de la déportation politique mais de la déportation financière (voir le Larousse, déportation : transfert arbitraire d’une population arrachée à son territoire et contrainte de s’implanter dans un lieu, une région qu’on lui assigne).
Cette histoire d’immigration ne résoud pas le fond du soi-disant problème des pensions mais ne fait que le reporter à plus tard.
Et en fait, le problème des pensions c’est peut-être un problème de partage de l’argent, tout simplement ? Pourquoi certaines pensions sont-elles (beaucoup) plus grosses que d’autres ? A la pension, tout le monde devrait gagner la même chose, puisque le « travail » est le même pour tous. Et si on résolvait ce soi-disant problème des pensions en partageant à égalité entre tous les pensionnés la totalité de la somme disponible ? Je pense que ça, ce serait plus correct pour tout le monde.
(N.B. : pour moi le problème du chômage, c’est aussi une question de partage de l’argent, et pas du tout une question de partage du travail ; du travail, il y en a toujours, mais c’est l’argent – son partage équitable – qui est en fait le véritable obstacle.)
Si ce n'est pas le cas, alors il faudra continuellement faire venir des immigrés.
Donc on accepte qu’il y aura de plus en plus d’ immigrés en Europe, et qu’il ne restera plus qu’une minorité
d’ Européens de moins en moins nombreux, et pour finir plus aucuns : les Européens se seront intégrés aux immigrés…
Mais est-ce que c’est correct de traiter les gens comme ça pour des questions d’argent ? Je trouve que ça ressemble trop à de la déportation, ces questions d’immigrés. Pas de la déportation politique mais de la déportation financière (voir le Larousse, déportation : transfert arbitraire d’une population arrachée à son territoire et contrainte de s’implanter dans un lieu, une région qu’on lui assigne).
Cette histoire d’immigration ne résoud pas le fond du soi-disant problème des pensions mais ne fait que le reporter à plus tard.
Et en fait, le problème des pensions c’est peut-être un problème de partage de l’argent, tout simplement ? Pourquoi certaines pensions sont-elles (beaucoup) plus grosses que d’autres ? A la pension, tout le monde devrait gagner la même chose, puisque le « travail » est le même pour tous. Et si on résolvait ce soi-disant problème des pensions en partageant à égalité entre tous les pensionnés la totalité de la somme disponible ? Je pense que ça, ce serait plus correct pour tout le monde.
(N.B. : pour moi le problème du chômage, c’est aussi une question de partage de l’argent, et pas du tout une question de partage du travail ; du travail, il y en a toujours, mais c’est l’argent – son partage équitable – qui est en fait le véritable obstacle.)
Alotar- Nombre de messages : 24
Age : 107
Emploi/loisirs : kayak sur le danube
Date d'inscription : 29/08/2008
politique libérale
la question de l'immigration pour renflouer les caisses est avant tout une politique libérale (ou socio-libérale) destinée à briser les résistances nationales qui gène la mondialisation des échanges et l'internationalisation de la main d'oeuvre. Finalement, les libéraux font exactement ce que Lénine en son temps avait extrapolé sur les réalité de la fin du XIXième siècle.
fabio03- Invité
Re: LE TABOU DEMOGRAPHIQUE
je trouve votre analyse tout à fait correcte. Enfin, des gens réfléchissent !
rudy- Invité
Re: LE TABOU DEMOGRAPHIQUE
j'apprécie la pertinence du sujet.
On peut se poser la question : qu'es ce qui retient chaque couple d'avoir ou non des enfants.
Chez nous en Europe je vois deux raisons essentielles:
La peur et l'égoïsme
La peur de :
_ne pas gagner suffisamment et ce n'est pas la récession dans laquelle on s'enfonce qui va la diminuer;
_s'engager sur le long terme entre 20 et 25 ans de responsabilité vis à vis du ou des enfants
_La dispersion des famille et leur éloignement(compter sur les grands parents devient de plus en plus difficile)
_La formation intellectuelle qui retarde le moment d'avoir des enfants et aussi leur nombres mais qui allonge aussi leur présence sous votre toit et retarde leur indépendance financière en allongeant d'autant la vôtre
_ la sensation que pour être un bon parents on doit tout leur donner et la difficulté de dire non à leur demande
_Le coût en temps et énergie dans la formation physique et psychique des enfants et le peu d'aide dans les infrastructures mise à disposition des jeunes parents et leur dispersions .
Plusieurs enfants impliquent plus grande maison, plus grandes voitures, plus de soins médicaux, de déplacements multiples sans parler des bouches à nourrir et du temps (courses, soins, déplacements sportifs, culturels vacances )
Enfin avoir des enfants signifie : don de soi, oubli de soi, beaucoup de joies mais aussi de tracas......et la plupart d'entre nous n'ont plus envie de s'engager autant...
rentabilité oblige tout tout de suite
Un papa 3 * 20 ayant 5 enfants
On peut se poser la question : qu'es ce qui retient chaque couple d'avoir ou non des enfants.
Chez nous en Europe je vois deux raisons essentielles:
La peur et l'égoïsme
La peur de :
_ne pas gagner suffisamment et ce n'est pas la récession dans laquelle on s'enfonce qui va la diminuer;
_s'engager sur le long terme entre 20 et 25 ans de responsabilité vis à vis du ou des enfants
_La dispersion des famille et leur éloignement(compter sur les grands parents devient de plus en plus difficile)
_La formation intellectuelle qui retarde le moment d'avoir des enfants et aussi leur nombres mais qui allonge aussi leur présence sous votre toit et retarde leur indépendance financière en allongeant d'autant la vôtre
_ la sensation que pour être un bon parents on doit tout leur donner et la difficulté de dire non à leur demande
_Le coût en temps et énergie dans la formation physique et psychique des enfants et le peu d'aide dans les infrastructures mise à disposition des jeunes parents et leur dispersions .
Plusieurs enfants impliquent plus grande maison, plus grandes voitures, plus de soins médicaux, de déplacements multiples sans parler des bouches à nourrir et du temps (courses, soins, déplacements sportifs, culturels vacances )
Enfin avoir des enfants signifie : don de soi, oubli de soi, beaucoup de joies mais aussi de tracas......et la plupart d'entre nous n'ont plus envie de s'engager autant...
rentabilité oblige tout tout de suite
Un papa 3 * 20 ayant 5 enfants
delcourt- Nombre de messages : 1
Age : 77
Date d'inscription : 15/10/2008
les statistiques
Le problème des statistiques est qu'on peut leur faire dire tout et son contraire. Tout n'est qu'une question d'argumentation d'une hypothèse.
nivelloi- Invité
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